Si Piquessary m'était raconté.....
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Wil Fer
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Re: Si Piquessary m'était raconté.....
Dernière édition par supermerlu le Ven 8 Oct - 23:51, édité 1 fois
Re: Si Piquessary m'était raconté.....

Michel Mays (balle en mains) à avec à droite, Philippe Dacharry, et les 3ème lignes Larrayos et Christian Barragué (avec la moustache).

Pierre Peytavin (encore junior) contre La Rochelle. Avec à gauche le 2ème ligne Garcia (avec la moustache) et l'arrière Gilles Larrieste.

Michel Dacharry portant le ballon (à droite), avec à gauche Leterre (qui venait de Villeneuve 13) et tout à Gauche, Philippe Mandin (3ème ligne).
Re: Si Piquessary m'était raconté.....

De gauche à droite : "Poupouce" (Michel Aïzpurua), Michel Mays (avec le bandeau), Gérard Novion.

De gauche à droite : au fond l'ailier Gachet (qui venait de Dax), Michel Mays (avec le Ballon) et Jean Condom. Ce doit être lors de la saison 1981/82, pour une victoire 41 à 15 devant Narbonne (arbitre collet).

Une charge de Jimenez devant Valderrey. Peut-être contre St Girons en 1976/77 ou Pamiers en 1977/78.

Michel Dacharry perçant la défense adverse sous le regard de Yanci à droite (avec le bandeau) et de Larrayos à l'extrême gauche.
Re: Si Piquessary m'était raconté.....

Une mêlée Boucalaise à 5 mètres qui avance et qui terminera par un essai pour le BS.

BS/Angoulême. Très certainement la saison pour une victoire 20 à 3. De gauche à droite : Haurieu, Jimenez (avec le bandeau), Gilles Fanen, Michel Dacharry (avec le ballon), x

Dernière édition par supermerlu le Dim 10 Oct - 0:49, édité 1 fois
Re: Si Piquessary m'était raconté.....

Teillagory (un excellent ouvreur buteur qui était venu de l'AB) portant le ballon sous le regard du 3ème ligne Novion à droite.

Le demi de mêlée, Labat lance l'attaque avec au relais Darrort (je crois) et Michel Mays (là j'en suis sûr


Un Boucau-Stade / FC Oloron : Jacques Fanen à l'attaque avec à gauche, Henry Gaye (avec le bandeau) et derrière lui Teillagory. A droite, en arrière plan, on apperçoit Jean-Baptiste Saldubéhère.
Re: Si Piquessary m'était raconté.....

Une superbe photo où "poupousse" Aizpurua déborde, José Foncillas (à droite) étant au relais sous le regard d'une foule compacte et très présente. Ce cliché représente parfaitement ce qu'était "Pique".
Un public bruyant et nombeux au plus près de ses joueurs !!!!
Très certainement un BS-Bègles.
NB : Merci à Gérard Bourgeois.

Pique
Bonjour à tous,
J'ai lu avec émotion, vos écrits sur ce stade mythique. Fils de Boucalais, bien qu'ayant joué à l'Aviron - nul n'est parfait!- j'apporterai ma contribution issue de mes souvenirs d'enfance.
J'ai lu avec émotion, vos écrits sur ce stade mythique. Fils de Boucalais, bien qu'ayant joué à l'Aviron - nul n'est parfait!- j'apporterai ma contribution issue de mes souvenirs d'enfance.
CABANES- Messages : 5
Date d'inscription : 30/11/2016
Re: Si Piquessary m'était raconté.....
Bonjour et merci à toi 1) de t'être inscrit 2) de ta proposition.
Hâte de te lire !!!
Hâte de te lire !!!

Pique
Bonjour à tous, je vous adresse ma modeste contribution à ce forum.
La pelouse de Piquessary. D’abord, il avait fallu monter pour y accéder. Vite. Mon père donnait le tempo. A suivre. Mon frère peinait un peu. Les trois, comme à la queue Lou-lou*. Quelques salutations au passage. Nous étions présentés, comme « le premier » -je suis l’aîné- et « le second ». Moins valorisant, le second. Celui qui vient « après » …
Nous venions du bas, de Boucau. Parfois un coup d’œil vers le panorama sur l’Adour. Mais vite, car nous étions pressés. C’était le dimanche après-midi, à trois heures. Réglé sur un mode sans Canal Plus. Une entrée. Pour s’installer en « Pelouse ». Il fallait contourner la tribune puis le fronton. Et continuer ainsi, derrière les poteaux, ou les spectateurs étaient adossés à la main courante, les pieds sur le terrain…Le territoire marqué, déjà.
Nous rejoignions notre humanité. Quelques parents, des ex-sportifs, venus du football, du vélo et du rugby. Bien sûr. Des forts en gueule. Des réflexions qui fusaient, et d’autres qui étaient plus élaborées. La montre tenait une place importante. Chacun avait une référence particulière. Les hommes pensifs, sérieux, en train de consulter leur poignet. Pour estimer le temps qu’il restait à jouer. Sans chipoter. Ne figuraient pas les secondes. Peu ou pas de femmes. Le rugby n’était pas féminin, encore.
Nous regardions le match, depuis cet angle ouvert sur le monde, ou obtus. Les vestiaires étaient en face. Le terrain d’échauffement derrière. Un mur nous en séparait. Une petite porte nous autorisait l’indiscrétion. L’angle ouvert pour ce qui se passait à distance, que nous supposions avec peu de certitudes. Et beaucoup de noire*foi. L’angle obtus, pour ce qui se passait dans notre champ proche. Une même féroce volonté. Celle de vouloir tout embrasser, tout embraser. Pas que du regard… Depuis notre salon ouvert, à tous les commentaires. Sur la marche du monde, la femme de Machin, Truc qui va mourir, ce qui se disait à la télévision, et ce qui ne se disait pas devant les enfants. Sans carré blanc, ici.
Un talus en pente. Une hauteur que nous dévalions pour taper sur d’épais panneaux de bois. La main rougie par la matière. En train de vociférer. Pour transmettre aux Noirs un surcroit d’énergie. De bravoure. Fallait que ça tombe. A part le « coup de pied sur joueur au sol », tout était bon. Tout. Dans cette humanité brute et rageuse, j’apprenais davantage en quatre-vingts minutes que dans les six jours précédents. Sur la peur, la violence, le courage, le défi. La collectivité et l’individu. Le respect au bout, malgré des promesses de « retours » difficiles. L’honneur n’était pas dans des congratulations ou des haies…
Une pelouse. Mon père ne voulait pas payer. Comme quelqu’un qui est « chez lui », et qui veut s’exonérer du péage. Un descendant d’Espagnol. Passé par les Forges. A se forger une carapace. A grands coups de pieds dans le ballon, sur la Place. Pour oublier les bleus à l’âme. « De los Espanoles que dejaron de serlo ». Il n’était pas question que nous allions en tribune. Nous aurions dû y rester assis. Se conformer à des commentaires polis. Pas davantage en « pesage », debout devant les tribunes, parqués sur un trottoir. En contrebas, cela ne nous allait pas. Il nous fallait un territoire à nous. Ou l’on ne nous prendrait ni de haut, ni à revers. Et nous l’avions trouvé, là. Nous y avions élu domicile. Comme dans un « corner* » ou nous nous connaissions. Re-connaissions. Dans un « entre nous » qui nous permettait de tout oublier, l’espace d’un dimanche après-midi.
« -Une pelouse, je vous prie, Madame
-Bon match. »
Pour éphémère qu’elle fut ! Jamais l’herbe ne m’aura semblé aussi verte, qu’ici, à Picque.
Christian Cabanes
Lou-lou : mon père s’appelle Louis, traduit alors en « Loulou », en vieux français « leu » signifiait « loup » …
Noire foi : les joueurs jouaient en noir, maillot, short et chaussettes.
Los Espanoles que dejaron de serlo : les Espagnols qui ont cessé de l’être. Beaucoup de patronymes indiquaient clairement la descendance ibérique.
PELOUSE AUTOBIOGRAPHIQUE
La pelouse de Piquessary. D’abord, il avait fallu monter pour y accéder. Vite. Mon père donnait le tempo. A suivre. Mon frère peinait un peu. Les trois, comme à la queue Lou-lou*. Quelques salutations au passage. Nous étions présentés, comme « le premier » -je suis l’aîné- et « le second ». Moins valorisant, le second. Celui qui vient « après » …
Nous venions du bas, de Boucau. Parfois un coup d’œil vers le panorama sur l’Adour. Mais vite, car nous étions pressés. C’était le dimanche après-midi, à trois heures. Réglé sur un mode sans Canal Plus. Une entrée. Pour s’installer en « Pelouse ». Il fallait contourner la tribune puis le fronton. Et continuer ainsi, derrière les poteaux, ou les spectateurs étaient adossés à la main courante, les pieds sur le terrain…Le territoire marqué, déjà.
Nous rejoignions notre humanité. Quelques parents, des ex-sportifs, venus du football, du vélo et du rugby. Bien sûr. Des forts en gueule. Des réflexions qui fusaient, et d’autres qui étaient plus élaborées. La montre tenait une place importante. Chacun avait une référence particulière. Les hommes pensifs, sérieux, en train de consulter leur poignet. Pour estimer le temps qu’il restait à jouer. Sans chipoter. Ne figuraient pas les secondes. Peu ou pas de femmes. Le rugby n’était pas féminin, encore.
Nous regardions le match, depuis cet angle ouvert sur le monde, ou obtus. Les vestiaires étaient en face. Le terrain d’échauffement derrière. Un mur nous en séparait. Une petite porte nous autorisait l’indiscrétion. L’angle ouvert pour ce qui se passait à distance, que nous supposions avec peu de certitudes. Et beaucoup de noire*foi. L’angle obtus, pour ce qui se passait dans notre champ proche. Une même féroce volonté. Celle de vouloir tout embrasser, tout embraser. Pas que du regard… Depuis notre salon ouvert, à tous les commentaires. Sur la marche du monde, la femme de Machin, Truc qui va mourir, ce qui se disait à la télévision, et ce qui ne se disait pas devant les enfants. Sans carré blanc, ici.
Un talus en pente. Une hauteur que nous dévalions pour taper sur d’épais panneaux de bois. La main rougie par la matière. En train de vociférer. Pour transmettre aux Noirs un surcroit d’énergie. De bravoure. Fallait que ça tombe. A part le « coup de pied sur joueur au sol », tout était bon. Tout. Dans cette humanité brute et rageuse, j’apprenais davantage en quatre-vingts minutes que dans les six jours précédents. Sur la peur, la violence, le courage, le défi. La collectivité et l’individu. Le respect au bout, malgré des promesses de « retours » difficiles. L’honneur n’était pas dans des congratulations ou des haies…
Une pelouse. Mon père ne voulait pas payer. Comme quelqu’un qui est « chez lui », et qui veut s’exonérer du péage. Un descendant d’Espagnol. Passé par les Forges. A se forger une carapace. A grands coups de pieds dans le ballon, sur la Place. Pour oublier les bleus à l’âme. « De los Espanoles que dejaron de serlo ». Il n’était pas question que nous allions en tribune. Nous aurions dû y rester assis. Se conformer à des commentaires polis. Pas davantage en « pesage », debout devant les tribunes, parqués sur un trottoir. En contrebas, cela ne nous allait pas. Il nous fallait un territoire à nous. Ou l’on ne nous prendrait ni de haut, ni à revers. Et nous l’avions trouvé, là. Nous y avions élu domicile. Comme dans un « corner* » ou nous nous connaissions. Re-connaissions. Dans un « entre nous » qui nous permettait de tout oublier, l’espace d’un dimanche après-midi.
« -Une pelouse, je vous prie, Madame
-Bon match. »
Pour éphémère qu’elle fut ! Jamais l’herbe ne m’aura semblé aussi verte, qu’ici, à Picque.
Christian Cabanes
Lou-lou : mon père s’appelle Louis, traduit alors en « Loulou », en vieux français « leu » signifiait « loup » …
Noire foi : les joueurs jouaient en noir, maillot, short et chaussettes.
Los Espanoles que dejaron de serlo : les Espagnols qui ont cessé de l’être. Beaucoup de patronymes indiquaient clairement la descendance ibérique.
CABANES- Messages : 5
Date d'inscription : 30/11/2016
Re: Si Piquessary m'était raconté.....
Merci à toi pour ce très beau texte dans lequel, ceux qui ont connu et vécu le "Pique" de cette époque, se reconnaitront !!!
Re: Si Piquessary m'était raconté.....
Au plaisir de se rencontrer. Allez les Noirs!Wil Fer a écrit:Merci à toi pour ce très beau texte dans lequel, ceux qui ont connu et vécu le "Pique" de cette époque, se reconnaitront !!!
CABANES- Messages : 5
Date d'inscription : 30/11/2016
Amis sportifs Bonjour
Amis Sportifs Bonjour,
Le match du lever de rideau était sur le point de s'achever lorsque la voix du speaker résonnait ds les vieux hauts parleurs blancs un peu coniques accroches sous les tribunes et si mes souvenirs d'enfant sont encore bons il me semble bien qu'il y en avaient aussi sur certain poteaux d'éclairage.
J arrivais à Pique avec mon père pour y rejoindre mon grand père et un de mes oncles en tribune ( ils étaient tellement chauvin qu'ils avaient l'abonnement...)
Un autre de mes oncles lui jouait en équipe première et j'en n'étais que plus fier.....
Nous nous installions après une multitude de bonjour aux différentes connaissances quelques pronostics un peu de météo..... moi j'attendais le fameux Bonbons Cacahuèttes chewing gum (prononcé à la va vite ) et la j apercevais se rapprochant le vendeur de friandises qui me connaissait bien ( jetais un fidèle client) . Mon paquet de cacahuetes en main j'étais prêt pour le coup d'envoi.
Sur ma gauche j'apercevais mes idoles ( Foncillas ou Larrieste Peytavin ou Dupin Betbeder Apathy ou Dicharry (M) Pouyau Tellagorry "POUPOUCE" Dicharry (P) Mandin Barrague Larrayos Novion Condom Romeo Yanci Jimmy (jimenez) Gaye s'avançant dans le Tunnel grillagé ( j'imaginais l'odeur de l'Algipan m'étant à plusieurs reprises approches d'eux durant les échauffements).
La commençait dans le stade le fameux Les Noirs !!boum boum boum !!! (nous avec les pieds sur le sol des tribunes (pauvre Manolo il devait avoir des fissures au plafond de son appartement) et ceux qui étaient "aux pelouses" frappaient de leur main sur les pancartes publicitaires)... Je pense que les adversaires de l'époque comprenaient dès la sortie des vestiaires que ce ne serait pas aisé de s'imposer chez nos irrésistibles gaulois qui ont longtemps résister à l'envahisseur....
J' ai trois souvenirs vraiment qui m'ont marqué mais qui sont un peu flous .....
Boucau Agen (9-7) on se fait voler je crois mais on gagne ....Arbitre Mr bertrand (si quelqu'un peut me resumer cette partie ...
Boucau Nice ( 12-9) accrochages à répétitions si je me souvient bien coup d'envoi pour les noirs mélee au centre (relevée ...)
Mais plus petit j'ai vu un Boucau Narbonne de folie d'après les récits de mon défunt papa si quelqu'un a un souvenir précis de ce match je suis preneur.....
Au sifflet final nous passions vite fait chez "Darragnès" boire une bière pour les grands un coca ou un orangina pour moi une petite bise à Yvette (Crespo), nous rentrions souvent frigorifiés, maman nous attendait avec un bon chocolat chaud pour me réchauffer il n'y avait plus qu'à attendre les autres résultats devant Stade 2 ( présenté par Robert Chapatte à l'époque et la rubrique rugby dirigé par monsieur Roger Couderc ......)
Nostalgie, nostalgie .... que j'aimerais pouvoir remonter le temps juste une fois pour cette atmosphère....
Il y a eu aussi des videos des matchs faites à l'époque par Popeye si quelqu'un à un indice je prends ....
S S S B c'est le stade c'est le stade !!!
S S S B c'est le stade des boucalais!!
Les boucalais au ptit beret sont populaires tout le mode les connait !!!
Depuis verdun jusqu'à Monbrun , mais oui madame le boucau c'est bien quelqu'un ..... lalalalalallallala ......
A JAMAIS ALLEZ LES NOIRS DU BOUCAU - STADE !!!
Le match du lever de rideau était sur le point de s'achever lorsque la voix du speaker résonnait ds les vieux hauts parleurs blancs un peu coniques accroches sous les tribunes et si mes souvenirs d'enfant sont encore bons il me semble bien qu'il y en avaient aussi sur certain poteaux d'éclairage.
J arrivais à Pique avec mon père pour y rejoindre mon grand père et un de mes oncles en tribune ( ils étaient tellement chauvin qu'ils avaient l'abonnement...)
Un autre de mes oncles lui jouait en équipe première et j'en n'étais que plus fier.....
Nous nous installions après une multitude de bonjour aux différentes connaissances quelques pronostics un peu de météo..... moi j'attendais le fameux Bonbons Cacahuèttes chewing gum (prononcé à la va vite ) et la j apercevais se rapprochant le vendeur de friandises qui me connaissait bien ( jetais un fidèle client) . Mon paquet de cacahuetes en main j'étais prêt pour le coup d'envoi.
Sur ma gauche j'apercevais mes idoles ( Foncillas ou Larrieste Peytavin ou Dupin Betbeder Apathy ou Dicharry (M) Pouyau Tellagorry "POUPOUCE" Dicharry (P) Mandin Barrague Larrayos Novion Condom Romeo Yanci Jimmy (jimenez) Gaye s'avançant dans le Tunnel grillagé ( j'imaginais l'odeur de l'Algipan m'étant à plusieurs reprises approches d'eux durant les échauffements).
La commençait dans le stade le fameux Les Noirs !!boum boum boum !!! (nous avec les pieds sur le sol des tribunes (pauvre Manolo il devait avoir des fissures au plafond de son appartement) et ceux qui étaient "aux pelouses" frappaient de leur main sur les pancartes publicitaires)... Je pense que les adversaires de l'époque comprenaient dès la sortie des vestiaires que ce ne serait pas aisé de s'imposer chez nos irrésistibles gaulois qui ont longtemps résister à l'envahisseur....
J' ai trois souvenirs vraiment qui m'ont marqué mais qui sont un peu flous .....
Boucau Agen (9-7) on se fait voler je crois mais on gagne ....Arbitre Mr bertrand (si quelqu'un peut me resumer cette partie ...
Boucau Nice ( 12-9) accrochages à répétitions si je me souvient bien coup d'envoi pour les noirs mélee au centre (relevée ...)
Mais plus petit j'ai vu un Boucau Narbonne de folie d'après les récits de mon défunt papa si quelqu'un a un souvenir précis de ce match je suis preneur.....
Au sifflet final nous passions vite fait chez "Darragnès" boire une bière pour les grands un coca ou un orangina pour moi une petite bise à Yvette (Crespo), nous rentrions souvent frigorifiés, maman nous attendait avec un bon chocolat chaud pour me réchauffer il n'y avait plus qu'à attendre les autres résultats devant Stade 2 ( présenté par Robert Chapatte à l'époque et la rubrique rugby dirigé par monsieur Roger Couderc ......)
Nostalgie, nostalgie .... que j'aimerais pouvoir remonter le temps juste une fois pour cette atmosphère....
Il y a eu aussi des videos des matchs faites à l'époque par Popeye si quelqu'un à un indice je prends ....
S S S B c'est le stade c'est le stade !!!
S S S B c'est le stade des boucalais!!
Les boucalais au ptit beret sont populaires tout le mode les connait !!!
Depuis verdun jusqu'à Monbrun , mais oui madame le boucau c'est bien quelqu'un ..... lalalalalallallala ......
A JAMAIS ALLEZ LES NOIRS DU BOUCAU - STADE !!!
Sang Noir- Messages : 1
Date d'inscription : 14/05/2018
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