Les cadets de 1972.... Champion de France
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Les cadets de 1972.... Champion de France
Si une génération a véritablement marqué l’histoire du BS, c’est biens les Cadets de 1972……INVAINCU de toute la saison, 469 points marqués, 55 encaissés, encadrés de mains de maître pas Messieurs Lapègue, Sinfort & Destribats (le père), ce groupe de joueurs va, durant plusieurs saisons, être à la base de l’enracinement du BS au plus haut niveau….
Leurs éducateurs, aussi compétents que complémentaires, vont permettre à une générations de gamins de toucher le toit du monde (et le bouclier de Brennus) au travers d’un jeu aéré et efficace. Profitant d’un paquet d’avants redoutable et de ¾ virevoltants, ils vont écrirent l’une des plus belle page de l’histoire de notre club en décrochant (dans 2 compétitions nationales) le titre suprême.
En Coupe Coulon, victoire à Mirande, contre Romans 7 à 6 (à l’époque il existe 3 grandes compétitions Cadets : le Championnat, la coupe Coulon et le Gauderman (pour les équipes cadettes des clubs qui sont invités à participer au Challenge Yves du Manoir). Ces 3 compétitions sont distinctes, aussi, il n’est pas rare qu’il y ait un Champion différent pour une même année).
Mais également, victoire en Championnat de France, après un titre de Champion de Côte Basque (victoire 10 à 0 contre St Jean de Luz).
Ainsi, voici le parcourt (lieu du match, adversaire & score) de nos petits noirs avant d'atteindre les sommets :
1/16 de Finale, à Labouheyre, contre Bègles, remporté 16 à 0 ;
1/8ème de Finale, à Orthez, contre Pau, remporté 15 à 0 ;
¼ de Finale, à Castillon, contre La Rochelle, remporté 12 à 9 ;
½ Finale, à Aire/Adour, contre Agen, 0 à 0, remporté au bénéfice….. de l’âge (c’est pas passé loin……) ;
Enfin, la Finale, à Ruffec, contre le RCF, remporté 12 à 0 !!!!
(A noter qu’il n’y a que La Rochelle qui a réussi à inscrire des points au BS, lors de ces phases finale).
Alors la Finale me direz-vous !!!!
Devant 1 bus de supporters et leurs parents (invités par le Club à assister au match (à l’époque aller à Ruffec ce n’était pas une partie de plaisir car il n’y avait pas d’autoroute, ni de réseau routier aussi bon que maintenant. Il n’était pas aussi facile, pour les aficionados, de suivre leur club dans ses déplacements, surtout quand ceux-ci étaient lointains)).
Bref, devant une assistance qui devait être attaché à leur cause, nos petits noirs marquèrent 3 essais, mais leur domination fut si écrasante qu’ils auraient pu en inscrirent 2 ou 3 supplémentaires…..Conquérant devant, vif derrière, ils ne laissèrent aucune chance à des adversaires très vite dépassés.
Ainsi, dès la 6ème minute, suite à un départ en fond de touche de la 3ème ligne du BS, l’ailier Damestoy marque le 1er essai !!!!!!!!
La mi-temps est sifflée sur le score de 4 à 0, mais l’emprise des noirs est si grande, qu’il ne fait aucun doute pour l’assistance…… le BS va gagner !!!!!!
La suite du match leur donnera raison, puisqu’à la 44ème minute, suite à un exploit de Damestoy, l’autre ailier, Beneuf, marque un 2ème essai, qui ne sera pas transformé (8 à 0).
Qu’à cela ne tienne, 8 minutes plus tard, l’essai de la délivrance et celui du coup de grâce, était porté par Michel Mays (3ème ligne à l’époque), pour un 12 à 0, net et sans bavure !!!!!!
Pour l’anecdote, lors de la réception, nos petits noirs se présentèrent devant chacun de leur adversaire pour un échange de cadeaux. Malheureusement, les joueurs du RCF n’avaient rien prévu.
Aussi, dans un geste spontané, ils arrachèrent les écussons de leurs blazers pour les offrir et passèrent autour du coup des vainqueurs leurs cravates du Racing Club de France.
De même, Mr Leroux, personnage connu du paysage rugbystique de l’époque et dirigeant du RCF, fit une allocution vibrante ou il rendit hommage au BS, à ses joueurs et où il leur demanda « de ne jamais oublier leur club et de lui rendre ce que ce dernier leur avait donné et transmis »….
Voici le nom des joueurs qui composaient ce formidable groupe (malheureusement je dois en oublier certains, aussi n’hésitez pas à compléter cette liste) :
Maisonnave, Mays, Gaye, Cano, Sallaberry J & Sallabery JP, Novion, Lalanne, Millox, Péhau, Gardera, Tiburce, Calbète, Fanen, Labadie, Apaty, Damestoy, Beneuf, Dacharry & Destribats (cap).
[quote][img][/img]
N’oublions pas leur éducateurs, qui surent tirer la quintessence de ce groupe pour l’emmener au plus haut sommet : Messieurs Lapègue, Sinfort & Destribats.
Ainsi, il est des aventures humaines et sportives qui se terminent bien.
Comme touché par la grâce, un groupe de joueur a, sa calculer, sans réfléchir, sans trembler au bout de son histoire et de sa destinée.
L’histoire récente des Champions de France de 2007 (pour la Fédérale B) est là pour nous le rappeler (surtout quand on se souvient du dénouement de leur match éliminatoire contre Langon).
Il est parfois des parfums, des émanations, (des âmes ?) qui flottent sur les stades et vous enveloppe de leurs auras protectrices pour vous porter vers la gloire…….
Certaines générations, certaines équipe ont rendez-vous avec leur destin…….ce fut le cas pour les Cadets de 1972.
Il était écrit qu’ils seraient Champions de France……..et ils l’ont été.
Au panthéons des immortels, ils ont gagné une place dans nos cœurs et dans nos mémoires comme tous ceux qui un jour ont eu la chance de soulever le bout de bois.
Ils n’ont pas joué pour l’argent (il n’y en avait pas).
Ont-ils joué pour la gloire ? A l’époque je ne crois pas qu’ils y pensaient.
Non, les fait sont simples, ils ont joué pour eux, pour leur parents (présent le jour de la finale), pour un maillot et ils ont gagné le droit, lorsque la vieillesse viendra titiller leurs corps meurtris par ces joutes dominicale, de raconter, au coin du feu, leurs faits d’armes, leurs exploits……à leurs petits enfants !!!!!!
Ils ont gagné le droit d’être dans nos mémoires, dans nos écrits, inscrit à jamais sur la plaque en fer d’une plane en bois, que des génération lointaines parcourront du regard pour découvrir qu’en 1972 le BS à été Champion de France !!!!!
Car voyez-vous, un titre, ça se mérite, ça se gagne sur le terrain…….. Ce n’est jamais une récompense logique et facile……..
Un bouclier ça ne se touche pas, ça se soulève, ça se prend (parfois hélas ça se vole), ça s’étreint et ….dès fois ça souffre (surtout après les festivités…).
Mais un bouclier ça ne s’attend pas, ce n’est pas un dû, ce n’est pas une récompense qui viendrait comme cela s’inscrire dans une logique de droit d’aînesse !!!!
Combien de générations, dite dorées, se sont brûlées les ailes sur les feux brûlants des compliments de ceux qui les suivaient ???????
Combien, plus grand, plus physique, plus technique, ont perdu leurs illusions au passage d’un match non maîtrisé face à un adversaire dont on pensait qu’ils ne feraient qu’une bouchée ?????
Alors oui, si la génération de 1972 a été exceptionnelle c’est surtout dans l’approche des événements qui ne lui sont pas montés à la tête en restant INVAINCU durant toute une saison !!!!!
Personnellement, je pense que le mérite en revient à leurs éducateurs.
Pour ceux qui ont connu le père Destribats (qui fut un président écouté et respecté de l’école de rugby du BS (en 1979 elle s’intitulée : l’ « amicale laïque Boucau-tarnos-Ondres »), il n’était pas du genre à accepter certaines compromission ni certains comportements de la part d’une jeunesse qui se veut parfois turbulente (adolescent ou autre).
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Certains diraient « c’était un homme à poigne »….. Pour d’autres il était simplement un personnage à l’honnêteté et à la droiture sans concession. Quelqu’un de caractère avec du caractère…..
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Messieurs Sinfort et Lapègue, enseignants tous les deux, et passionnés de rugby (comme l’était Monsieur Destribats) avait cette pédagogie si enviée qui permet de transmettre et de faire comprendre (même les choses les plus compliquées) simplement, naturellement, sans grincement de dent, sans cris, ni énervement.
Ce talent, ce« don » pour certains…… cette « déformation professionnelle » pour d’autres, je l’ai, personnellement, connu avec Francis Dubert (enseignant lui aussi) quand on s’occupaient des poussins du BTS dans les années 90 ? C’est une expérience très enrichissante et formatrice à partager (qu’il lui soit rendu hommage ici pour tout ce qu’il m’a apporté…… mais c’est une autre histoire).
Mais, cette génération n’a pas fait que gagner 2 titres la même année, elle a aussi permis à un club de continuer son histoire avec le plus haut niveau.
Elle n’a pas essayé de monnayer ses talents aux quatre coins de France (comme le font certaines équipes ou générations maintenant).
Monsieur Dupouy, CTR du Comité de côté Basque Landes (et ancien entraîneur de l’équipe de France Féminine de Rugby) me confia un jour que ce fut la seule génération Championne de France Cadet dont le groupe, qui a participé à cette finale, a joué à plus de 60% en équipe première.
Leurs éducateurs, aussi compétents que complémentaires, vont permettre à une générations de gamins de toucher le toit du monde (et le bouclier de Brennus) au travers d’un jeu aéré et efficace. Profitant d’un paquet d’avants redoutable et de ¾ virevoltants, ils vont écrirent l’une des plus belle page de l’histoire de notre club en décrochant (dans 2 compétitions nationales) le titre suprême.
En Coupe Coulon, victoire à Mirande, contre Romans 7 à 6 (à l’époque il existe 3 grandes compétitions Cadets : le Championnat, la coupe Coulon et le Gauderman (pour les équipes cadettes des clubs qui sont invités à participer au Challenge Yves du Manoir). Ces 3 compétitions sont distinctes, aussi, il n’est pas rare qu’il y ait un Champion différent pour une même année).
Mais également, victoire en Championnat de France, après un titre de Champion de Côte Basque (victoire 10 à 0 contre St Jean de Luz).
Ainsi, voici le parcourt (lieu du match, adversaire & score) de nos petits noirs avant d'atteindre les sommets :
1/16 de Finale, à Labouheyre, contre Bègles, remporté 16 à 0 ;
1/8ème de Finale, à Orthez, contre Pau, remporté 15 à 0 ;
¼ de Finale, à Castillon, contre La Rochelle, remporté 12 à 9 ;
½ Finale, à Aire/Adour, contre Agen, 0 à 0, remporté au bénéfice….. de l’âge (c’est pas passé loin……) ;
Enfin, la Finale, à Ruffec, contre le RCF, remporté 12 à 0 !!!!
(A noter qu’il n’y a que La Rochelle qui a réussi à inscrire des points au BS, lors de ces phases finale).
Alors la Finale me direz-vous !!!!
Devant 1 bus de supporters et leurs parents (invités par le Club à assister au match (à l’époque aller à Ruffec ce n’était pas une partie de plaisir car il n’y avait pas d’autoroute, ni de réseau routier aussi bon que maintenant. Il n’était pas aussi facile, pour les aficionados, de suivre leur club dans ses déplacements, surtout quand ceux-ci étaient lointains)).
Bref, devant une assistance qui devait être attaché à leur cause, nos petits noirs marquèrent 3 essais, mais leur domination fut si écrasante qu’ils auraient pu en inscrirent 2 ou 3 supplémentaires…..Conquérant devant, vif derrière, ils ne laissèrent aucune chance à des adversaires très vite dépassés.
Ainsi, dès la 6ème minute, suite à un départ en fond de touche de la 3ème ligne du BS, l’ailier Damestoy marque le 1er essai !!!!!!!!
La mi-temps est sifflée sur le score de 4 à 0, mais l’emprise des noirs est si grande, qu’il ne fait aucun doute pour l’assistance…… le BS va gagner !!!!!!
La suite du match leur donnera raison, puisqu’à la 44ème minute, suite à un exploit de Damestoy, l’autre ailier, Beneuf, marque un 2ème essai, qui ne sera pas transformé (8 à 0).
Qu’à cela ne tienne, 8 minutes plus tard, l’essai de la délivrance et celui du coup de grâce, était porté par Michel Mays (3ème ligne à l’époque), pour un 12 à 0, net et sans bavure !!!!!!
Pour l’anecdote, lors de la réception, nos petits noirs se présentèrent devant chacun de leur adversaire pour un échange de cadeaux. Malheureusement, les joueurs du RCF n’avaient rien prévu.
Aussi, dans un geste spontané, ils arrachèrent les écussons de leurs blazers pour les offrir et passèrent autour du coup des vainqueurs leurs cravates du Racing Club de France.
De même, Mr Leroux, personnage connu du paysage rugbystique de l’époque et dirigeant du RCF, fit une allocution vibrante ou il rendit hommage au BS, à ses joueurs et où il leur demanda « de ne jamais oublier leur club et de lui rendre ce que ce dernier leur avait donné et transmis »….
Voici le nom des joueurs qui composaient ce formidable groupe (malheureusement je dois en oublier certains, aussi n’hésitez pas à compléter cette liste) :
Maisonnave, Mays, Gaye, Cano, Sallaberry J & Sallabery JP, Novion, Lalanne, Millox, Péhau, Gardera, Tiburce, Calbète, Fanen, Labadie, Apaty, Damestoy, Beneuf, Dacharry & Destribats (cap).
(Soulignés les joueurs qui sont sur la photo suivante.....en effet, la seule photo que j'ai de ce groupe a été prise lorqu'il était juniors en 1973/74. Aussi, il y a 16 joueurs de ce groupe sur la photo qui concerne, je le répète leur ANNEE JUNIOR et non (hélas) la fameuse année 72 (si quelqu'un a des photos de cette époque qu'il n'hésite pas à la mettre en ligne))
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N’oublions pas leur éducateurs, qui surent tirer la quintessence de ce groupe pour l’emmener au plus haut sommet : Messieurs Lapègue, Sinfort & Destribats.
Ainsi, il est des aventures humaines et sportives qui se terminent bien.
Comme touché par la grâce, un groupe de joueur a, sa calculer, sans réfléchir, sans trembler au bout de son histoire et de sa destinée.
L’histoire récente des Champions de France de 2007 (pour la Fédérale B) est là pour nous le rappeler (surtout quand on se souvient du dénouement de leur match éliminatoire contre Langon).
Il est parfois des parfums, des émanations, (des âmes ?) qui flottent sur les stades et vous enveloppe de leurs auras protectrices pour vous porter vers la gloire…….
Certaines générations, certaines équipe ont rendez-vous avec leur destin…….ce fut le cas pour les Cadets de 1972.
Il était écrit qu’ils seraient Champions de France……..et ils l’ont été.
Au panthéons des immortels, ils ont gagné une place dans nos cœurs et dans nos mémoires comme tous ceux qui un jour ont eu la chance de soulever le bout de bois.
Ils n’ont pas joué pour l’argent (il n’y en avait pas).
Ont-ils joué pour la gloire ? A l’époque je ne crois pas qu’ils y pensaient.
Non, les fait sont simples, ils ont joué pour eux, pour leur parents (présent le jour de la finale), pour un maillot et ils ont gagné le droit, lorsque la vieillesse viendra titiller leurs corps meurtris par ces joutes dominicale, de raconter, au coin du feu, leurs faits d’armes, leurs exploits……à leurs petits enfants !!!!!!
Ils ont gagné le droit d’être dans nos mémoires, dans nos écrits, inscrit à jamais sur la plaque en fer d’une plane en bois, que des génération lointaines parcourront du regard pour découvrir qu’en 1972 le BS à été Champion de France !!!!!
Car voyez-vous, un titre, ça se mérite, ça se gagne sur le terrain…….. Ce n’est jamais une récompense logique et facile……..
Un bouclier ça ne se touche pas, ça se soulève, ça se prend (parfois hélas ça se vole), ça s’étreint et ….dès fois ça souffre (surtout après les festivités…).
Mais un bouclier ça ne s’attend pas, ce n’est pas un dû, ce n’est pas une récompense qui viendrait comme cela s’inscrire dans une logique de droit d’aînesse !!!!
Combien de générations, dite dorées, se sont brûlées les ailes sur les feux brûlants des compliments de ceux qui les suivaient ???????
Combien, plus grand, plus physique, plus technique, ont perdu leurs illusions au passage d’un match non maîtrisé face à un adversaire dont on pensait qu’ils ne feraient qu’une bouchée ?????
Alors oui, si la génération de 1972 a été exceptionnelle c’est surtout dans l’approche des événements qui ne lui sont pas montés à la tête en restant INVAINCU durant toute une saison !!!!!
Personnellement, je pense que le mérite en revient à leurs éducateurs.
Pour ceux qui ont connu le père Destribats (qui fut un président écouté et respecté de l’école de rugby du BS (en 1979 elle s’intitulée : l’ « amicale laïque Boucau-tarnos-Ondres »), il n’était pas du genre à accepter certaines compromission ni certains comportements de la part d’une jeunesse qui se veut parfois turbulente (adolescent ou autre).
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Certains diraient « c’était un homme à poigne »….. Pour d’autres il était simplement un personnage à l’honnêteté et à la droiture sans concession. Quelqu’un de caractère avec du caractère…..
img][/img]
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Messieurs Sinfort et Lapègue, enseignants tous les deux, et passionnés de rugby (comme l’était Monsieur Destribats) avait cette pédagogie si enviée qui permet de transmettre et de faire comprendre (même les choses les plus compliquées) simplement, naturellement, sans grincement de dent, sans cris, ni énervement.
Ce talent, ce« don » pour certains…… cette « déformation professionnelle » pour d’autres, je l’ai, personnellement, connu avec Francis Dubert (enseignant lui aussi) quand on s’occupaient des poussins du BTS dans les années 90 ? C’est une expérience très enrichissante et formatrice à partager (qu’il lui soit rendu hommage ici pour tout ce qu’il m’a apporté…… mais c’est une autre histoire).
Mais, cette génération n’a pas fait que gagner 2 titres la même année, elle a aussi permis à un club de continuer son histoire avec le plus haut niveau.
Elle n’a pas essayé de monnayer ses talents aux quatre coins de France (comme le font certaines équipes ou générations maintenant).
Monsieur Dupouy, CTR du Comité de côté Basque Landes (et ancien entraîneur de l’équipe de France Féminine de Rugby) me confia un jour que ce fut la seule génération Championne de France Cadet dont le groupe, qui a participé à cette finale, a joué à plus de 60% en équipe première.
Re: Les cadets de 1972.... Champion de France
Voici la photos du Groupe Champion de France cadets (1972) et vainqueur de la Coupe Coulon (Merci à Gérard Bougeois )
De gauche à Droite ,
En haut : Cano, Gaye, Maysonnave, Damestoy, Philippe Dacharry, Fanen, Fernandez, Apaty.
Au milieu : Pierre destribats (responsable), Sinfort (entraîneur), Michel Mays, Péhau, Tiburce, Gardéra, Millox, Lapégue (entraîneur), le Docteur Eliet (Présient du Boucau-Stade).
En bas : Novion, Calbète, Philippe Destribats (capitaine), Labadie, Beneuf, Lalanne, JAcques Sallaberry & Jean-Pierre Salaberry (avec un superbe béret).
De gauche à Droite ,
En haut : Cano, Gaye, Maysonnave, Damestoy, Philippe Dacharry, Fanen, Fernandez, Apaty.
Au milieu : Pierre destribats (responsable), Sinfort (entraîneur), Michel Mays, Péhau, Tiburce, Gardéra, Millox, Lapégue (entraîneur), le Docteur Eliet (Présient du Boucau-Stade).
En bas : Novion, Calbète, Philippe Destribats (capitaine), Labadie, Beneuf, Lalanne, JAcques Sallaberry & Jean-Pierre Salaberry (avec un superbe béret).
Re: Les cadets de 1972.... Champion de France
Je me permets de mettre en photo, les Champions de France 1972, quand ils furent réunis pour fêter leur 50ème anniversaire... En espérant qu'ils ne m'en voudront pas
En effet, la plupart de ces Champion, fréquente l'Intercommunal ou Pique, lors des matchs de la 1ère, aussi, cela permettra aux jeunes générations (surtouit ceux qui sont à l'école de rugby) de mettre un visage actuel sur des noms... Et ainsi, quand il les croiseront de reconnaître ces "grands joueurs" qui ont porté fièrement le maillot NOIR !!!!!
Debout (de gauche à droite) :
Sinfort (entraîneur), Maisonnave, Mays (auteur d'1 essai en finale), Gaye, Cano, Novion, Lalanne, Millox, Tiburce, Lapégue (entraîneur)
Accroupis (de gauche à droite) :
Calbete, Fernandez, Labadie, Apaty, Dacharry Philippe, Destribats Philippe & Beneuf (auteur d'1 essai en finale)
En effet, la plupart de ces Champion, fréquente l'Intercommunal ou Pique, lors des matchs de la 1ère, aussi, cela permettra aux jeunes générations (surtouit ceux qui sont à l'école de rugby) de mettre un visage actuel sur des noms... Et ainsi, quand il les croiseront de reconnaître ces "grands joueurs" qui ont porté fièrement le maillot NOIR !!!!!
Debout (de gauche à droite) :
Sinfort (entraîneur), Maisonnave, Mays (auteur d'1 essai en finale), Gaye, Cano, Novion, Lalanne, Millox, Tiburce, Lapégue (entraîneur)
Accroupis (de gauche à droite) :
Calbete, Fernandez, Labadie, Apaty, Dacharry Philippe, Destribats Philippe & Beneuf (auteur d'1 essai en finale)
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